Sortie de la 12ème promotion baptisée Alassane Ouattara
query_builder 14-06-2013
La 12ème promotion de l’Ecole d’État-major de Libreville (EEML), baptisée Alassane OUATTARA , du nom du Chef de l’Etat Ivoirien présent à la cérémonie a effectué, le 14 juin 2013, sa sortie dans la capitale gabonaise, en présence du Président de la République, Ali Bongo ONDIMBA, du premier ministre, Chef du gouvernement, Raymond Ndong Sima et de nombreuses personnalités du monde diplomatique, dont l’Ambassadeur de France au Gabon, S.E : Jean-François Desmazières dont le pays est partenaire du Gabon dans la mise en place de cette école.
Dans son allocution de bienvenue, le ministre de la Défense Nationale gabonais, Rufin Pacôme Ondzounga a réitéré ses remerciements et celles de l’école à l’endroit du Chef de l’Etat gabonais pour avoir sacrifié un temps de son précieux agenda de travail en prenant personnellement part à cette cérémonie. Il a notamment déclaré que cet engagement des plus hautes autorités témoigne du caractère régional de cette structure, fruit de la coopération Franco-gabonaise.
Rufin Pacôme Ondzounga reconnaîtra par ailleurs que, l’Ecole d’Etat-major de Libreville, pôle de formation de l’élite militaire par excellence, entrait dans la droite ligne du programme de société d’Ali Bongo Ondimba, l’Avenir en confiance.
Saluant au passage la présence de l’illustre personnalité, parrain de la cérémonie, le ministre de la Défense a dit simplement « Akwaba » à Alassane Dramane Ouattara pour la dynamisation de la coopération entre son pays et le Gabon. Il a laissé entendre que le voyage d’étude offert par le Président Ivoirien à ses filleuls était un signal fort dans le témoignage d’une amitié vielle de plusieurs décennies depuis les feux présidents Léon Mba, Omar Bongo Ondimba et Félix Houphouët Boigny. En effet, l’orateur a également relevé que, le choix porté sur Alassane Dramane Ouattara était une reconnaissance de son implication dans la culture de la paix dans son pays et sur le continent, gage d’un véritable développement car, point de tout cela sans une paix durable et acceptée par tous.
